Basket : les défaites sont des choses qui peuvent arriver...

 

Basket hier soir. Le MSB rencontre le club de Paris-Levallois . Le MSB en tête du championnat de PRO A ne doit faire qu'une bouchée du club parisien.

Mais voilà, le manque d'adresse générale de l'équipe et en particulier de sa vedette D. Spencer, peu habitué à ne marquer que deux points sur un match, a fait que le MSB a été défait sur le score de 67-75.

Le club parisien, par sa défense de fer, a su imposer sa loi et alors... quand deux clubs se rencontrent, l'un gagne, l'autre perd. C'est la loi du sport. Et pour une fois le MSB n'a pas gagné.

Mais Dieu que ça peut être énervant d'entendre les soit-disant supporters attribuer cette défaite aux arbitres... et je ne vous raconte ps les noms d'oiseaux...même que les écolos en auraient appris de nouveaux !

Le MSB, à courir plusieurs lièvres à la fois :  Europe, Championnat, Semaines des AS et Coupe de France,  voit ses joueurs fatigués... et se fait battre par des équipes plus fortes.

C'est la loi du sport, pas la faute des arbitres.

Visite de quartiers

Les visites de quartiers sont des moments forts de la démocratie participative. Elles drainent de plus en plus de monde et l'année dernière, nous en avons vu certaines où il y avait plus de 100 personnes, ce qui commence à poser d'ailleurs des problèmes de déplacement sur certains axes.

Un tour de quartier pendant une heure et une autre heure dans une salle municipale permettent de situer les problèmes et de trouver des solutions aux problèmes quand c'est possible, avec les habitants concernés.

Une nouveauté cette année, certaines auront lieu le samedi matin afin de permettre à tous d'y participer.

Voici donc le calendrier des celles du printemps 2010 :

Mixité ?

Une conseillère municipale UMP, toujours à l'affût de leçons à donner,  vient de déclarer à la fin d'une chronique s'émerveillant des propositions gouvernementales sur la mixité :

« Au niveau local, j’observe par exemple une  régression en matière de mixité.  Au Mans, lorsqu'un poste de vice-présidence de la communauté urbaine doit être attribué après le décès d'une élue, c'est un homme qui est proposé au vote de ses collègues...».

Elle aurait bien fait de tourner 7 fois sa langue, la jeune dame !

D'abord, quand il faut remplacer une conseillère ou un conseiller municipal, c'est la suivante ou le suivant de la liste qui prend la place. Après le décès de notre camarade Dominique Niederkorn, c'est donc un homme qui l'a remplacée au sein du Conseil Municipal et une femme au sein du Conseil Communautaire. C'est la loi, c'est comme ça !

Dans le cadre d'un accord politique, les deux délégations de Dominique sont restées chez les Verts et ce n'est qu' à cause de difficultés engendrées au sein de son entreprise, qu'une Conseillère Municipale Verte a refusé ces délégations. 

De là à accuser notre équipe de  favoriser une candidature homme, il n'y avait qu'un pas dans la mauvaise foi que notre Conseillère Municipale UMP se devait de franchir. 
Mais que ne ferait-on pas dans cette période d'élections pour se faire remarquer ! Demain, elle s'étonnera sûrement que cette délégation n'ait pas été proposée à quelqu'un de la diversité. On parie ?

Et on se mobilise pour Europe-Écologie...

Distribution de tracts sur le marché des Jacobins avec mon pote Thierry. Nous distribuons ces tracts pour annoncer le débat sur la reconversion écologique de l'économie jeudi 25 février à la Chambre de Commerce avec notre tête de liste Jean-Philippe Magnen.

Discussion sympa par un froid de canard avec les militants de Lutte Ouvrière qui vendent leur canard et même indignation sur les bonus de 500 millions d'euros distribués aux traders de la BNP.

L'accueil est plutôt sympa de la part des chalands. Bon signe pour le 14 mars ?

Voici l'affiche de la campagne :

 

Et aussi  le clip de la campagne... à ne pas manquer !

LA JAM clip Europe Ecologie "OK"
envoyé par Europe-Ecologie-PDL. -

Ateliers SNCF

En 2008 la direction de la SNCF a présenté un plan de charge des ateliers du Mans qui amènerait sa fermeture en 2013 et avec, 250 suppressions d'emplois. Les salariés et leurs syndicats ne l'acceptent pas et proposent de mener une étude pour la création d’un établissement multi-régional de maintenance du matériel roulant « TER ».

La ville du Mans, est, en effet, est un nœud ferroviaire à la croisée des régions Bretagne, Pays de la Loire, Basse-Normandie et Centre.

La région Pays-de-la-Loire a beaucoup investi dans le nouvel atelier SNCF de Nantes, mais l'accroissement du trafic TER doit permettre une charge de travail assurant la pérennité du site du Mans. La municipalité a donc mis en place une table ronde regroupant direction de la SNCF, syndicats de cheminots et élus locaux pour y réfléchir et proposer des solutions.

Hier, le syndicat CGT des cheminots avait invité les élus du Mans a venir visiter l'« atelier de Pontlieue » afin de visualiser sur le terrain une solution proposée par la direction SNCF afin de créer un centre de maintenance légère des TER (petites réparations et nettoyage...) qui regrouperait 20 emplois.

Nous avons pu constater la difficulté de mettre cet atelier en place du fait de son enclavement dans un triangle ferroviaire inclus entre les boulevards de la Petite Vitesse et Émile Zola. Le Maire et les élus présents ont pris date pour une visite des autres  « Ateliers » et une réunion préparatoire à la dernière séance de la table ronde.

Nos enfants nous accuseront..

Soirée Europe-Écologie à la salle Pierre Perret. Une centaine de personnes pour débattre du film de Jean-Paul Jaud « Nos enfants nous accuseront » qui pose le problème de la nourriture bio dans les cantines scolaires et des ravages des pesticides dans l'agriculture productiviste.

Le film "Nos enfants nous accuseront" raconte l'initiative d’une municipalité du Gard, Barjac, qui décide de servir définitivement des repas bio dans sa cantine scolaire, en finançant le surcoût. Conscient du danger sanitaire qui menace nos enfants exposés aux 76 000 tonnes de pesticides déversées chaque année dans notre pays, le maire décide de prendre les choses en main en refusant les produits de l'agriculture productiviste. 

En présence de Yannick Jadot, député européen ,de Jean-Philippe Magnen, tête de liste régionale, de Jean-Paul Jaud, réalisateur, de mon vieux copain de luttes, Jean-Claude Olivier, paysan retraité de Vaas, le débat avec la salle va dépasser le cadre du film pour déboucher sur notre programme puisqu'aujourd'hui était le jour de sa parution.

J'ai posé le problème de la quadrature du cercle à résoudre pour les élus Verts manceaux : en fonctionnant avec un budget constant, comment introduire du bio dans les cantines scolaires du Mans avec en plus une filière pas toujours capable de répondre à la demande de la préparation de 9000 repas par jour.

Oui, vraiment, l'objectif du 20% bio pour 2012 sera dur à atteindre... va falloir se battre !

Le téléphone sonne...

Le « téléphone sonne » d'Alain Bedouet, fait partie des émissions  « culte » de France-Inter.

L'occasion m'a été donnée d'assister avec 200 personnes à l'émission publique de ce soir à l'Espal. Le thème choisi était donc les Régionales dans les Pays-de-la-Loire puisque France-Inter et le Monde vont faire la tournée des Régions.
Donc rigolo de connaître les coulisses d'une émission que l'on a l'habitude d'écouter à l'heure de l'apéro.

Alain Bedouet a choisi d'une façon surprenante la ville du Mans pour traiter le sujet. Surprenant quand on connait la pesanteur nantaise. Notre Maire en était très fier d'ailleurs.

Il avait donc invité quatre journalistes (Ouest-France, Le Maine-Libre, Le Monde et France-Bleue-Maine) et un politologue pour répondre aux auditeurs en liaison par téléphone et au public présent. Joli travail de funambule pour ne pas casser la fluidité de l'émission.

Les questions étaient intéressantes : Notre Dame des Landes, pomme de « discorde » entre socialistes   et   écologistes, le  côté  « jeune loup » de C. Béchu, candidat de l'UMP [mais aussi de la droite extrême avec ses Villieristes, ne l'oublions pas ] mais aussi député européen, président du Conseil Général du Maine-et-Loire [comment fait-il ? Et en plus, il serait sarkozo-ministrable !], le manque d'unité de la région, le poids de l'agro-alimentaire, le problème des chantiers navals de Saint-Nazaire, etc. et tout ça en 40 minutes !

On peut écouter l'émission encore une semaine (c'est LÀ). À ne pas manquer non plus le supplément de quatre pages du Monde sur le sujet.
Bonne nouvelle également : le futur directeur de France-Bleue-Maine a annoncé la première émission pour le 1^er juin.

Campus propre

 

J'ai assisté vendredi à un colloque organisé par les étudiants de Master de Géographie de l'Université du Maine.

Ces étudiants niveau bac + 5 étudient l'ingénierie des déchets.

Et quoi comme plus beau sujet d'étude que de faire un diagnostic de la gestion des déchets du campus de l'Université du Maine. Le campus est une petite ville avec ses 8500 étudiants, ses deux restaurants universitaires et ses 900 logements. Les services de « Le Mans Métropole » collectent les déchets mais constatent qu'il y a très peu de tri et aimeraient bien convaincre les autorités du campus de le mettre en place.

Si un effort est constaté au niveau des chambres de la Cité Universitaire puisque les autorités du Centre Local des Œuvres Universitaires vient de lancer un Agenda 21.

Mais aucun plan global. Comment s'étonner quand on voit comment la gestion du campus est morcelée ? Et l'absence d'un interlocuteur au niveau du campus ne facilite pas les choses. Mais, si comme elle en a l'intention, l'Université du Maine met en place un agenda 21, les choses ne peuvent qu'avancer.

Dommage également que les autorités universitaires n'aient pas été présentes à ce colloque intéressant.

Notre Dame des Landes...

 

Notre Dame des Landes est un projet d'aéroport qui date bientôt de 30 ans. Alors que de nombreuses études montrent son inutilité tant au niveau du nombre de passagers transportés et de ses conséquences écologiques dramatiques pour tout un territoires, Christophe Béchu, tête de liste UMP et Jacques Auxiette, tête de liste du parti Socialiste soutiennent à fond ce projet. Même que cela met dans des colères noires le Maire Socialiste de Nantes, Jean-Marc Ayrault dès que l'on touche à son «beau » projet !

Le Grenelle de l'Environnement, à travers Jean-Louis Borloo, s'est prononcé pourtant pour le gel des installations aéroportuaires, la majorité de français se prononce à plus de 70 % contre l'extension des aéroports, mais rien n'y fait. les responsables UMP et du Parti Socialiste persistent !

Je fais partie des 500 élus qui ont signé l'appel à arrêter ce projet insensé (c'est ICI) et nous avons reçu la signature de François Bayrou ce dimanche. Nous ne sommes pas dupes de ce geste et nous avons bien perçu les intentions électorales : il faut bien que le modem lance sa campagne.

Mais ça a mis Jean-Marc dans tous ses états : « François Bayrou, descendu de Paris pour une journée, a montré sa méconnaissance totale de notre région. Il ne suffit pas de chausser une paire de bottes pour faire sérieux, comme l’atteste son opposition au projet de transfert de l’aéroport de Nantes à Notre-Dame des Landes.»

Notre Dame des Landes est enjeu capital dans les futures élections régionales. Le programme des Verts et d'Europe-Écologie est clair : pas un sou pour ce projet d'aéroport.

Et il faut bien comprendre que tout l'argent régional investi dans ce projet insensé sera de l'argent de moins investi dans l'amélioration des transports dans la région et, en particulier, des TER !

Et cela nous concerne, manceaux et sarthois : se battre contre Notre Dame des Landes c'est aussi se battre, entre autres choses,  pour l'indispensable amélioration de la ligne Caen- Le Mans- Tours !

« Est-ce ainsi que les hommes vivent ? »

Pour les avoir découvertes il y a un mois, les mancelles et les manceaux connaissent aujourd'hui les conséquences des aléas climatiques sur les rencontres sportives.

Mais ce que connaissent les canadiens aujourd'hui dépasse l'entendement !

Les Jeux Olympiques d'hiver doivent débuter vendredi prochain à Vancouver mais un de leurs sites, Cypress Mountain, où doivent se dérouler les épreuves de snowboard, de ski acrobatique et de ski-cross souffre d'un manque de neige.

Mais voilà, les sponsors Coca-Cola, Panasonic, Omega, Acer, Samsung, Visa, pour ne citer que les principaux et sans compter les retransmissions télévisées, ont apporté déjà 883 millions de dollars. Il faut donc sauver les Jeux Olympiques.... alors on ne lésine pas sur les moyens :

   • depuis fin novembre, 35 canons à neige pulvérisent de la neige en utilisant 23 millions litres d'eau .

   • De la paille est livrée par hélicoptère pour fixer la neige.
   • 300 camions font 50 rotations par jour pour amener la neige sur le site.

   • 45 personnes sont mobilisées pour traiter cette neige.

Bien sûr, on ne parlera pas de « catastrophe écologique », mais pourtant ?

Mais pouvions attendre autre chose du gouvernement de M. Harper, premier ministre conservateur canadien, qui s'est opposé à toute mesure sur la limitation des gaz à effet de serre lors du sommet de Copenhague ?

Et si jamais, vos yeux s'arrêtaient sur des images transmises de Cypress Mountain, n'oubliez pas que la neige que vous y voyez est 100% artificielle !

L'arrêt Mandela

Nous étions une cinquantaine ce matin à « inaugurer » le nouvel arrêt bus SETRAM « Mandela ». Les occupants de la Résidence Sociale Nelson Mandela s'étonnaient de voir les bus de la ligne 5 passer à 50 mètres de chez eux sans s'arrêter. Cette demande était aussi relayée par les habitants du quartier La Pointe-Batignolles.

Le dialogue a abouti et depuis le 17 janvier, les bus s'arrêtent à la nouvelle station « Nelson Mandela »

L'inauguration s'est terminée par un pot à la Résidence Sociale en présence de tous les riverains dans une atmosphère bien sympa. Ce qui démontre une fois de plus le succès de l'intégration de la résidence sociale au quartier.

La station « Nelson Mandela » se trouve donc sur la ligne 5 Arnage-Miroir entre la station Spoutnik et Pêcheurs.

Baux ruraux... vous avez dit baux ruraux ?

Il y a un mois, j'ignorais tout sur les tribunaux des baux ruraux. En quoi aurais-je pu être intéressé par ce tribunal, moi qui suis élu urbain ?

Et bien si ! Ma délégation d'élu aux élections m'a valu d'être membre de la commission d'organisation et de dépouillement du vote à ces tribunaux. Il s'agissait donc de désigner deux représentants des bailleurs (propriétaires) et des preneurs (locataires) puisque ce tribunal est paritaire.

C'est quand même intéressant pour un élu de la ville du Mans qui doit abriter, allez, trois fermes au maximum ! Mais Le Mans est la préfecture du département de la Sarthe, ce qui me vaut d'être embauché !

Donc à 8 heures ce matin, je montre patte blanche à la grille de la Préfecture (ça ne rigole pas...) et me voilà entrainé dans un maelström surréaliste...

L'état a décidé de changer de procédure en remplaçant le vote en mairies par un vote par correspondance et me voilà donc pendant 7 heures à authentifier les enveloppes !

Il faut comprendre que sur l'enveloppe T fournie par la Préfecture, l'électeur doit apposer son nom et son prénom et sa signature et c'est à nous de nous débrouiller pour identifier l'électeur... Dantesque ! Ne parlons pas des homonymes, des noms d'épouse, des patronymes à particule... l'horreur ! 600 enveloppes pour le tribunal de La Flèche et 1500 pour celui du Mans.

Je ressors de la Préfecture avec une tête comme une citrouille en méditant sur la dure condition d'élu et en évitant de me poser le problème du coût écologique d'un tel vote ! Oui, au fait, les candidats de la FNSEA ont élus. Mais ça, on s'en doutait un peu, non ?

Pour me consoler, je "shoote" le grand escalier monumental de la Préfecture. Cadeau pour mes lecteurs.

Projet La Reposance

Hier, je suis avec le Maire pour présenter au Conseil de Quartier Est le projet « La Reposance ». La Reposance est une maison d'accueil pour personnes âgées située au milieu des Sablons, rue du Cantal. Cette maison jouxte un terrain vague sur lequel est prévu un projet immobilier.

Le projet, financée par le 1% logement (0,45% en fait...), est menée par la Foncière Logement, la même organisation qui mène le projet « Château d'eau » avenue Félix Géneslay et déjà présenté ici.

Il s'agit donc de construire 27 logements (14 T4 et 13 T5) dans le cadre de la rénovation urbaine en favorisant la diversification des logements et la mixité sociale. Beau projet donc.

Les services de la ville, dans un premier temps, vont donc modifier l'aspect de la rue des Vosges qui va être complètement retracée pour aménager ce grand terrain vague inoccupé entre la rue du Massif Central, la rue des Corbières et l'ancienne rue des Vosges.

Peu d'oppositions au projet, mais des interrogations des participants sur :

  • les places de parking. Pas de problème, elles seront doublées. ce qui nous évite les sempiternels débats sur la place de la voiture.

  • l'aménagement de la zone en zone 30. Pas de problème non plus. On rassure les riverains.

  • les futurs occupants. Ce ne sont pas des logements sociaux. Ils sont réservés aux salariés des entreprises qui financent le « 1% ».

Un participant s'interroge sur le fait que le chauffage de ces logements soit alimenté pat le gaz alors que les Sablons sont équipés d'un réseau de chaleur. La question est plus que pertinente. Nous nous engageons à la poser au maître d'ouvrage.

Mais il est vrai que, contrairement au projet mené au Château d'Eau, l'approche environnementale de l'urbanisme n'a pas été beaucoup prise en compte. Même si l'architecte nous garantit des logements dont la performance énergétique est comprise entre la THPE et le BBC (*), un participant s'étonne à juste titre de l'absence de panneaux photo-voltaïques et la récupération des eaux pluviales.

(*)

THPE : Très Haute Performance Énergétique : 20% en dessous de la RT 2005

BBC : Bâtiment Basse Consommation :  : 50% en dessous de la RT 2005.

RT 2005 : Réglementation Thermique 2005 qui fixe la consommation thermique des nouvelles constructions, soit une consommation énergétique de 100 kwh/an/m².

Rien à cacher...

Ouest-France a publié ce jour un article sur le statut de l'élu et de ses indemnités. Il met l'accent sur la difficulté de mêler activité professionnelle et travail d'élu. Ayant vécu cette situation trois mois avant mon départ à la retraite, j'ai pu constater que ce n'était pas toujours facile.

Vous ne maitrisez pas toujours les heures de réunions ou de rendez-vous et il arrive souvent qu'il y ait télescopage. Et il est vrai que mon statut d'enseignant avec possibilité de permuter des horaires de cours avec les collègues m'a permis de répondre aux différentes sollicitations de l'élu que j'étais devenu.

Aujourd'hui « le jeune retraité » (que c'est agréable de se faire traiter ainsi...) n'a plus ce problème...

Sur les indemnités maintenant, le journal en donne le montant. Mais ce sont les indemnités brutes.

Ci-dessous, vous trouverez le calcul réel et ce qu'il me reste après tous les retraits (cotisations sociales, retraites, impôts et reversement à mon parti politique Les Verts) :